Elle me dit, en fronçant les sourcils, « Ne pourrait-on manger un peu plus ? Je n’ai mangé que trois petits bols de riz et j’ai les fesses glacées. »
Et j’imagine ses fesses sous le tissu pas bien épais du kimono, telles qu’elles sont, pointées vers l’extérieur de la table.
Jusque là ce n’était que du rituel, de minuscules bouchées rituelles, et élégantes, offertes du bout des baguettes, à des couples factices, idoles ou poupées.
Je regarde avec plaisir et amusement ses lèvres s’ouvrir puis se refermer sur la bouchée rose et verte que je lui ai tendue du bout de mes baguettes.
Je pose la main sur ses fesses froides, par-dessus le tissu, je l’agrippe ainsi, par-dessous les fesses et l’amène à moi. Elle ne se défend qu’à peine et se coule sous mon bras, contre moi.