En arrivant dans cette maison – je n’y étais encore installé que par un matelas futon posé sur le carrelage de la pièce qui serait ma chambre – je me suis dit que j’emménageais au Paradis sans le mériter, de sorte que je me suis senti l’habiter en étranger, en métèque, autorisé à en jouir des délices que de manière limitée, par tolérance et en fonction du travail que je fournirais à son profit.
Lire la suiteEn arrivant dans cette maison…